Prunelle : assurer son logement, c’est aussi être engagé(e)

Société créée en 2022, Prunelle fait de l’assurance habitation un facteur de lutte contre le dérèglement climatique. Placés dans un compte éthique à la coopérative bancaire NEF, les fonds versés par les assurés financent des projets écologiques.

Les assurances françaises ont investi plus de 44 milliards d’euros dans les secteurs du gaz, du pétrole et du charbon en 2020 selon le rapport de l’AMF et de l’ACPR.

L’argent que les Français payent à leur assurance est placé en attendant de rembourser des sinistres. Cette situation est un véritable cercle vicieux : les assurances financent des secteurs qui accélèrent le réchauffement climatique, lui-même à l’origine de la multiplication et de l’intensification des catastrophes naturelles. Ironie du sort les assurés paient pour être protégés de ces catastrophes.

« Avant de partir rembourser les sinistres de la communauté d’assurés, l’argent “stocké” par votre assurance est en fait investi. Il circule de façon opaque et finance des industries sur lesquelles vous n’avez pas de contrôle. Extraction de gaz et de pétrole, centrales à charbon, transport des hydrocarbures… ces financements des assurances contribuent à la crise climatique, et donc à l’augmentation des risques contre lesquels nous nous assurons (sécheresses, tempêtes…) » souligne Prunelle. Ainsi, en 2020, les investissements des assureurs ont généré 1,17 milliard de tonnes de CO2 représentant 13,6 tonnes de CO2 par personne. C’est plus que la consommation moyenne d’un Français en une année.

Mobilité douce, développement durable

En œuvrant pour la transition écologique, l’assurance renoue avec son principe fondateur : assurer le futur de chacun en protégeant la société des risques à venir. Prunelle fait le choix d’investir ses fonds dans la coopérative bancaire NEF, qui réunit, depuis 1988, des professionnels et des particuliers et de miser sur la transparence.

L’argent récolté sera investi dans des projets qui s’inscrivent dans une autre philosophie : mobilités douces, développement durable… Et s’il reste un surplus à la fin de l’année, les assurés pourront même choisir directement comment l’utiliser, en votant pour un projet qui leur tient à cœur. Ou comment donner encore plus de sens à son assurance.

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