Données personnelles : "Nous voulons garder la confiance de nos clients"

Le DPO d’Allianz France raconte au JDN la mise en place du droit à l’effacement dans le cadre de RGPD. Voir l’interview du JDN
JDN. Quel projet significatif avez-vous mené dans le cadre de RGPD en 2018 ?
Philippe Léglise, data protection officer d’Allianz France. © Philippe Léglise
Philippe Léglise. L’effacement des données personnelles au-delà des périodes de conservation obligatoire. C’est aussi ce qu’on appelle le droit à l’oubli. Nous avons des délais de conservation minimaux, c’est-à-dire nécessaires à la finalité de la gestion des contrats et à la conservation réglementaire des données. Le code des assurances nous impose de conserver des pièces pendant un certain temps. Tout dépend de la nature des processus, des données, de l’environnement… Par exemple, pour l’assurance-vie décès, nous sommes obligés de conserver les dossiers 30 ans après le décès de la personne. Avec le RGPD, il n’est plus possible de conserver les données qui ne sont plus utiles aux finalités pour lesquelles elles ont été traitées, collectées ou stockées. Nous devons donc effacer les données non nécessaires. Lire la suite de l’article ?

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