Les prénoms peuvent-ils influencer le risque d’accident ?

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C’est une étude pour le moins insolite que vient de publier Leocare. En analysant les sinistres automobiles déclarés par ses assurés, la néo-assurance met en lumière un classement inattendu : les prénoms les moins accidentés au volant. À lire avec prudence.

Marion, Damien, Samira, Bruno… Ces prénoms affichent une fréquence de sinistres nettement inférieure à la moyenne des 200 000 clients analysés. Dans le classement féminin, on retrouve également Emmanuelle, Céline ou Adeline ; côté masculin, Clément, Manuel ou encore Yanis complètent le tableau.

Une simple coïncidence ? Un effet d’âge ? Ou le signe d’une conduite plus responsable ? Impossible à dire avec certitude. Car si ce classement intrigue, il ne suffit pas à rendre compte de la complexité des comportements routiers.

Ce que révèle vraiment ce classement

Ce qui se dessine en filigrane derrière ces prénoms “peu accidentés”, ce n’est pas une question d’identité, mais plutôt de contexte : âge moyen, mode de vie, fréquence d’utilisation du véhicule, lieu d’habitation… Autant de paramètres bien plus déterminants que le prénom inscrit sur la carte grise.

« Ce classement insolite met en lumière des phénomènes générationnels qui enrichissent notre modèle de compréhension des attitudes de conduite. Chez Leocare, nous sommes convaincus que chaque donnée, lorsqu’elle est utilisée avec responsabilité, est un levier pour anticiper les usages, adapter nos services et proposer une expérience plus fluide. Elle ne fige pas les individus dans des cases, mais accélère la voie à une assurance plus souple, plus individualisée, et surtout plus juste. », explique Christophe Dandois, cofondateur de Leocare.

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